Qui est Laurent De La Clergerie ? Fortune, famille, entreprises
Au milieu des années 1990, le e-commerce commence à naître en France, notamment avec l’apparition de la voyance à travers la messagerie rose, grâce à laquelle des dirigeants d’entreprise ont fait fortune. L’histoire des premières affaires de Laurent De La Clergerie a commencé durant cette période, et celui qui avait à peine terminé ses études en ingénierie s’était lancé dans l’entreprenariat en 1996. Passionné de l’informatique, Laurent De La Clergerie est aujourd’hui le patron de LDLC. Comment a-t-il pu gagner sa fortune ? Voici les réponses dans la suite de notre article.
Les dirigeants d’entreprises se lancent souvent dans le monde des affaires à un jeune âge, et si certains passent beaucoup de temps à travailler au sein de différentes sociétés, d’autres n’ont eu qu’un court passage dans le salariat.
Comme dans l’histoire de Michael Manousakis et d’Anthony Bourbon, le patron de LDLC a su miser tôt sur la voie de l’entreprenariat et rien ne le décourageait à réaliser ses ambitions à devenir un homme d’affaires. Après avoir eu des rôles au sein de certaines entreprises spécialisées dans l’informatique, Laurent De La Clergerie avait rapidement su que son avenir n’allait pas être comme celui de la plupart de ses collègues de l’époque.
Laurent De La Clergerie : quelles études a-t-il fait et quelle est sa formation ?
Durant la fin des années 1970, le futur homme d’affaires fait ses études au collège La Fosse Aux Dames dans Les Clayes-sous-Bois. Durant cette époque, Laurent De La Clergerie démontre déjà un grand intérêt pour la technologie et les nouvelles tendances, mais il n’avait pas encore décidé d’en faire la spécialité. Par la suite, il rejoint le Lycée Jean Perrin à Lyon où Laurent De La Clergerie donnait une grande importance aux études mathématiques.
Après le lycée et avec son baccalauréat en poche, Laurent De La Clergerie rejoint une école d’ingénieurs dans la même ville de Lyon. Après avoir décroché son diplôme en électronique et informatique, il commence à chercher un travail. Toutefois, l’histoire n’était pas aussi simple pour le jeune ambitieux qui allait avouer, plusieurs années après, qu’il aurait préféré avoir passé un diplôme en management.
Laurent De La Clergerie : l’histoire de la création de son groupe LDLC
D’après ses déclarations, l’homme d’affaires rêvait d’être entrepreneur depuis la maternelle, et cela est la raison pour laquelle il aurait préféré un diplôme en management que celui qu’il a eu en électronique et informatique. Malgré sa passion pour la technologie, Laurent De La Clergerie voulait s’intégrer dans le monde des affaires.
C’est pour cela que peu de temps après la fin de ses études, Laurent De La Clergerie a créé sa première entreprise. Aujourd’hui, après plus de 25 ans, le groupe LDLC est derrière plus d’une dizaine de sites web dont la majorité sont spécialisés dans l’e-commerce.
Laurent De La Clergerie : à combien s’élève sa fortune aujourd’hui ?
Le fondateur et dirigeant du groupe LDLC réalise ses premières ventes quelques jours suivant la mise en marche de son entreprise, et depuis, la richesse se cumule chez l’homme d’affaires. Laurent De La Clergerie est l’homme derrière la réalisation de milliers de ventes de produits high-tech sur internet.
Au bout de chaque année, les gains se sont multipliés et en 2011, Laurent De La Clergerie gagnait des centaines de milliers d’euros. Le chiffre d'affaires de son entreprise avait dépassé les 150 millions, et aujourd’hui, Laurent De La Clergerie sait comment cacher ses plans pour le futur afin de mieux développer sa richesse.
Les faits à connaître
- Laurent De La Clergerie est un homme d’affaires.
- Laurent De La Clergerie est le spécialiste des nouvelles technologies.
- Laurent De La Clergerie est derrière le groupe LDLC.
- Laurent De La Clergerie a gagné une richesse grâce à l’e-commerce.
- Laurent De La Clergerie aurait préféré des études en management.
- Laurent De La Clergerie n’aime pas parler de sa fortune aux médias.
- Laurent De La Clergerie prépare bien son avenir et celui de son entreprise.
Source: Legit.ng